Le chantier de l'invitation au voyage avance. Voici la deuxième strophe

 L'invitation au voyage (deuxième partie)

Un meuble flambant

Lustré par les ans

Brûle ses feux à l'étage

Les plus rares fleurs

Mêlant leurs senteurs

A un parfum plus sauvage

Les murs fastueux

Les tableaux fameux

Les épures persanes

L'ensemble fera

Barrage au trauma

La mer sera bleue et plane

Là est le zèle, la beauté,

Le luxe, la légèreté

(à suivre)

Pour le mal que ça m'a donné, voici, sans COVID, la première strophe de "l'Invitation au Voyage" de Baudelaire . Après de longues hésitations, je considère que le "e dan l'o" n'est pas la lettre o (sinon y = 2 i)

Une lettre à la mer

Ma mesure, ma soeur,

Pense à la lueur

Espérée là-bas ensemble !

Préparer le feu

Et fermer les yeux

Au pays que tu assembles.

Les astres sanglants,

L'azur s'embrasant

Se jettent sur mes repères

Leurs jeux me subjuguent

Éternelles fugues

Et tu entres en leur mystère

Là est le zèle, la beauté,

Le luxe, la légèreté.

(à suivre...)

D'après le poème en prose de Charles Baudelaire, sans les lettres C O V I D

  L'étranger

-  Quelle parenté préfères-tu, âme ténébreuse ?

-  J'atteste en être exempté

-  Tes semblables ?

-  Un mystère que je ne peux pénêtrer.

-  Ta nature ?

-  Je ne m'y heurte nulle part.

-  La beauté ?

-  Je l'espère éternelle.

-  L'argent ?

-  Un faste que je rejette autant qu'eux le Très-Haut.

-  Eh ! Que préfères-tu, surprenant étranger ?

-  Je préfère les nuages.. les nuages que j'embrasse… là-bas... là-bas... les fabuleux nuages !